Prendre un nouveau nom pour une société est une démarche risquée. Cette décision ne doit pas se limiter à un simple coup de communication.
Depuis le buzz inOUI, qui a remisé notre bon vieux TGV au placard, on peut se demander si certaines entreprises ne changent pas d’identité pour créer une rupture qui ne reste que superficielle. Mais, face à un marché concurrentiel émergent, à une fusion dont on a du mal à justifier le sens, à des évolutions technologiques qui dépassent la capacité d’adaptation d’organismes installés sur leur marché, le naming peut-il tout de même être un artifice efficace ?