Lu dans Capital – (extrait) – Lorsqu’on dirige une business unit dans une multinationale, on peut choisir, pour tracer sa voie et faire carrière, de jongler avec différentes postures selon que l’on s’adresse à son N-1, à son N+1, voire à son N+10. Et ce, en s’appuyant sur une place définie par une organisation, un organigramme, un millefeuille de responsabilités plus ou moins diluées. Dans une TPE, c’est différent. Le boss concentre souvent à lui tout seul toutes les responsabilités du N+1 au N+10 : en fait, le P de patron l’emporte sur tous les N. La preuve : si le patron change, la boîte change. Résultat : on en arrive parfois à oublier l’un des premiers principes du management, celui qui conseille de ne pas mettre trop d’affect au travail…
[CAPITAL] – LES CLÉS POUR RÉUSSIR SON MANAGEMENT DE PROXIMITÉ
Laisser une réponse